Pendant que ses anciens copains (à l'exclusion de
Steve Hackett ) annoncent une reformation qui pue beaucoup le business, il regarde vers l'avenir comme toujours.
Même sur le front des nouvelles technologies : de sorte que, après avoir fondé en 1999 la plate-forme de distribution digitale
Od2, qui finit aujourd'hui dans les mains de Nokia, il s'embarque dans une aventure analogue.
Toujours avec son associé Charles Grimsdale il lance un software,
The Filter, destiné à faciliter aux consommateurs la recherche en Réseau de morceaux correspondants à leurs goûts et achetables sous forme de téléchargement.
tous les deux ont créé un fond financiers,
Eden (le nom évoquera quelque chose au fan de Gabriel...), et ont confié la direction de l'entreprise à Blair Schoof, un vétéran de la musique digitale qui peut se prevaloir de son expérience auprés BMG, d'AOL et de MusicNet.
Le service, qui est déjà en phase de test expérimental, repose sur un software gratuit disponible sur le site de la societé,
www.thefilter.comUne fois déchargé, le plug-in ouvre une fenêtre dans la base de données digitale de référence (iTunes ou Windows Media) et demande à l'utilisateur de sélectionner dans sa librarie digitale la chanson appréciée ;
il crée automatiquement un playlist de morceaux analogues dans le style et dans l'ambiance , et avec un click, l'usager peut décider de l'acquérir sur iTunes ou sur un autre digitalstore.
la technologie (Exabre) a été développée par des techniciens qui travaillaient avec Od2 , le système conserve en mémoire les habitudes d'achat et les associations musicales dont les internautes ont fait usage pendant ces sept dernières années pour acheter de la musique dans les magasins qui utilisaient les services de la societé (Msn Microsoft, Tiscali, Mtv, Coca-Cola etc).
"La première vague de la révolution digitale a concerné la liberté de choix, la possibilité de rendre tout accessible à tous, partout et à n'importe quel moment" a expliqué Gabriel. "Je crois que la seconde vague concernera par contre, dans quelque mode que ce soit, la liberté du choix. Cela traitera le fait de pouvoir filtrer et de se focaliser, de sorte que cela puisse nous se procurer en majeure partie ce que vraiment nous voulons, ce qui nous excite, nous amuse et nous surprend".
We sit down in New York this week with the legendary singer/songwriter/technology buff Peter Gabriel to talk about Witness, the organization he founded in 1992. The group was the first effort to use an emerging technology - the videocamera - as a tool in the fight to expose human rights abuses. Since that time, Witness has worked with dozens of small, local groups around the world - in places like Burma, the Congo, and Mexico - training them and helping them edit their footage. The resulting films are put in front of the world's decision-makers, the UN, the U.S. congress and the newly formed International Criminal Court. And now Gabriel wants to expand the organization, again getting out in front of the newest technological innovation - uploading video on the internet. As an artist, Gabriel has always been a thinker and poet, and he explains how he came to be involved in human rights issues, and what difference a group like Witness can make.
