Après douze années d’absence, Kate Bush, la dame de verre, revient sur le devant de la scène avec un tout nouveau projet, baptisé « Aerial », à paraître le 7 novembre 2005 en France sur Capitol Records.
Ce n’est certainement pas faire injure à Björk, Tori Amos, Fiona Apple, Sinéad O’Connor, Allison Goldfrapp ou Stina Nordenstam que d’affirmer que sans Kate Bush, toutes ces artistes féminines n’auraient peut-être pas existé. Pour elles, cette chanteuse anglaise exceptionnelle repérée par David Gilmour de Pink Floyd est, depuis le milieu des années 70, une formidable source d’inspiration.
Kate Bush n’a que 17 ans lorsque paraît « The Kick Inside », son premier album de pop progressive, luxueuse et très alternative, propulsé en tête des charts anglais grâce à « Wuthering Heights », premier d’une incroyable série de tubes à la fois riches et précurseurs.
Pourtant, Kate Bush est l’archétype même de l’artiste rare, un oiseau à la voix de verre dont le moindre bruissement d’aile fascine ses fans.
En 1979, elle part en tournée (la seule de sa carrière) avec un show révolutionnaire, puis décroche la lune et le succès planétaire avec l’excentrique « Babooshka », extrait en single de l’album « Never Forever ».
C’est alors que Kate Bush de se prendre totalement en charge. Désormais, elle écrit, compose, enregistre dans son propre studio, produit elle-même ses chansons, gère tous les aspects d’une carrière qui fait fantasmer ses consoeurs et comble son public.
D’une nature très réservée, elle n’apparaît plus que rarement en public et choisit d’espacer ses sorties d’albums. Ainsi, douze années séparent les publications de « The Red Shoes » (qui lui a permis d’affirmer son succès aux U.S.A.) et « Aerial ».
Il s’agit d’un double album, précédé du single « King Of The Mountain », auquel on collaboré l’ex-Japan Mick Karn, le batteur Stuart Elliott, le percussionniste de jazz Peter Eskine et l’accordéoniste Chris Hall sur une chanson. Le regretté Michael Kamen a signé les arrangements de cordes et dirigé le London Metropolitan Orchestra sur deux titres.
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