22 février 2006

Tech conference attracts luminaries in Monterey

Stars will converge on Monterey event starting today

More than 900 corporate, scientific and artistic leaders will converge in Monterey this week for an invitation-only event whose very title -- Technology, Entertainment, Design -- reflects the agenda and fantasies of Silicon Valley.

Attendees will pay $4,400 to attend the event, which opens today and runs through Saturday. TED's place in tech history was established the first time it was held, in 1984, when Apple Computer showed off its new Macintosh.

In the ensuing years the conference, like Silicon Valley, has had its ups and downs and changes in leadership. But the seaside event has managed to keep its reputation for looking over the horizon.

"This is definitely one of the must-attend events of the year,'' said Shel Israel, whose San Carlos consulting firm, Conferenza, follows and rates the tech industry's many gatherings.

Israel said TED has managed to hold its own against events such as the prestigious Web 2.0 conference because it raises thought-provoking themes and attracts provocative speakers.

"There is a reason why TED happens in Monterey: It's a one-hour drive to Silicon Valley ... and that gives it a unique well of potential attendees and speakers,'' said Bruno Giussani, a Swiss author and former executive with the Davos World Economic Forum who helped organize a European version of TED in Oxford, England, last year.

This week's conference, billed as "The Future We Will Create," will feature notables such as Stanford Professor Paul Berg, who earned a Nobel Prize for helping invent the gene-splicing tool that helped develop biotechnology, and Sun Microsystems co-founder Bill Joy, the '80s-era software guru who now worries that some technologies are slipping out of human control.

Other speakers include music industry innovator Peter Gabriel and former Vice President Al Gore, who has reinvented himself as one of the forces behind San Francisco's pioneering grassroots video startup, Current TV....

Manu Katché 100 % cash

Manu katché, André Manoukian, Marianne James et Dove Attia (de gauche à droite) reviennent torturer les candidats de la « Nouvelle Star ». photo plug tv.

Après avoir bossé avec les plus grands (Sting, Peter Gabriel), le batteur, Manu Katché privilégie aujourd'hui sa propre carrière. Ce soir, il reprend du service aux côtés de Dove Attia, André Manoukian et Marianne James dans «Nouvelle Star ».

Auriez-vous rempilé avec un jury différent ?

Non, c'était nous quatre ou rien. Il y a une vraie alchimie. Evidemment, on n'est pas toujours d'accord. Comme on passe des heures ensemble, ça finit toujours par péter. Marianne et moi, on aime bien les prises de bec ! On est sans doute les deux plus tenaces pour défendre tel ou tel candidat. André et Dove sont plus cool.

Les membres du jury sont-ils les vraies stars du programme ?

On n'est pas des stars, mais quatre personnes qui ont des choses à dire. Notre franchise plaît. Le but de « Nouvelle Star » est avant tout d'être un tremplin pour les candidats qui peuvent accéder à un label, sans forcément être une star. Le rêve de Steeve Estatof (gagnant de la saison 2) était de pouvoir vivre de la musique. Il y est.

Sans avoir gagné, Amel Bent réussit mieux que les trois gagnants réunis. Pourquoi ?

Amel n'entrait pas dans le stéréotype de la jeune fille blonde et mince. Ça prouve qu'il y a deux publics. Celui qui envoie les SMS et celui qui achète les disques. C'est aussi pour ça qu'on a demandé à la production de pouvoir repêcher un candidat lors du premier direct. Le public ne vote pas toujours sur des critères musicaux. Cette saison, nous aurons aussi un programmateur musical avec qui on se concertera pour que les chansons correspondent mieux aux candidats. On leur fait trop souvent chanter les mêmes chansons pour ménagères de moins de 50 ans.

Comment jugez-vous le cru 2006 ?

Ça se professionnalise. Le niveau s'est nettement amélioré. Avant, on avait beaucoup de belles voix, mais on n'a pas besoin de clones de Lara Fabian. Le renouveau de la chanson française a été bénéfique. Les candidats se sont inspirés de Bénabar ou Raphaël sans les copier. Il y a plus d'auteurs-compositeurs cette année.

Et toujours autant de casseroles pour le bêtisier ?

On est un peu lassé de voir ces gens qui font un numéro pour « passer dans le poste ». Ce qui est plus drôle, c'est ceux qui pensent bien chanter et qui sont catastrophiques... Quelqu'un qui massacre du Sinatra les mains dans les poches, on lui dit que c'est merdique et on lui rend service.