Peter Gabriel, qui a fondé le groupe rock Genesis, a reçu à Rome le prix «Man for Peace». Ce prix pour la paix est décerné par la Fondation Gorbatchev. Gabriel, âgé de 56 ans, est honoré pour son travail de promotion des droits de la personne et en faveur de la paix mondiale. Le prix lui a été remis lors d'une rencontre d'anciens lauréats de prix Nobel de la Paix, qui est organisée chaque année à Rome par la Fondation Gorbatchev. Dans le passé, ce prix a notamment été décerné à l'organisateur de l'événement "Live 8", Bob Geldof, Yusuf Islam, le chanteur autrefois connu sous le nom de Cat Stevens, et le réalisateur et acteur italien Roberto Benigni.
18 novembre 2006
Peter Gabriel récipiendaire d'un prix de paix
Peter Gabriel, qui a fondé le groupe rock Genesis, a reçu à Rome le prix «Man for Peace». Ce prix pour la paix est décerné par la Fondation Gorbatchev. Gabriel, âgé de 56 ans, est honoré pour son travail de promotion des droits de la personne et en faveur de la paix mondiale. Le prix lui a été remis lors d'une rencontre d'anciens lauréats de prix Nobel de la Paix, qui est organisée chaque année à Rome par la Fondation Gorbatchev. Dans le passé, ce prix a notamment été décerné à l'organisateur de l'événement "Live 8", Bob Geldof, Yusuf Islam, le chanteur autrefois connu sous le nom de Cat Stevens, et le réalisateur et acteur italien Roberto Benigni.
Peter Gabriel, homme de la paix 2006
Un engagement soutenu
Peter Gabriel honoré pour son engagement pour la paix
On a ainsi voulu souligner le travail de promotion de la paix et des droits humains accompli par le musicien. Il a reçu son prix à Rome lors d'une cérémonie qui marque le début d'une rencontre qui rassemble les lauréats du prix Nobel de la Paix. Celle-ci se déroule chaque année. Elle est organisée par la Fondation Gorbatchev et l'hôtel de ville de Rome.
Parmi les autres récipiendaires de ce prix de la Paix de la Fondation Gorbatchev: le musicien et organisateur de Live 8, Bob Geldof; Yusuf Islam (anciennement connu sous le nom de Cat Stevens) ainsi que l'acteur et réalisateur italien Roberto Benigni.
Photo: Gabriel, tenant son prix, pose en compagnie de l'ancien leader polonais Lech Walesa, récipiendaire du prix Nobel de la paix en 1983.
Peter Gabriel est «l'homme de la paix 2006»
Cette septième édition du sommet a pour thème «l'atome pour la paix ou pour la guerre?».
C'est le prix Nobel de la paix 1983, le Polonais Lech Walesa, qui a remis le prix au musicien, remplaçant l'ex-président soviétique Mikhaïl Gorbatchev, absent pour cause de maladie. «Peter Gabriel est reconnu dans le monde entier pour ses activités en faveur de la paix et de l'humanité. Il utilise la musique, langage universel, pour faciliter la compréhension entre les cultures», a souligné M. Gorbatchev, prix Nobel 1990, dans un message distribué pendant la cérémonie à la mairie de Rome.
Une «voix pour la liberté»
Rappelant que Peter Gabriel avait été l'un des premiers artistes à dénoncer l'apartheid, le maire de Rome, Walter Veltroni, a salué une «voix qui se bat pour la liberté». Peter Gabriel a souligné dans son discours de remerciement que «la musique était omniprésente dans le monde, comme l'eau» et que ce «langage permettait de toucher les être humains».
Barbe blanche et chemise sans col, le chanteur a insisté sur l'importance de la technologie (téléphone mobile, ordinateur portable...) qui permet de relier les hommes et de transformer «l'information en connaissance, la connaissance en sagesse et la guerre en paix». Peter Gabriel, 56 ans, ancien du groupe Genesis, est depuis plusieurs années engagé dans le combat pour les droits de l'homme, effectuant notamment pendant plus d'un an une tournée mondiale au profit d'Amnesty International.
Johnny Clegg, le "zoulou blanc", part en reconquête avec un nouvel album
Le »zoulou blanc» se produira dimanche à Paris (Grand Rex) avant d'autres concerts en France. "C'est un classique +Johnny Clegg mélange+", déclare Clegg à l'AFP, dans un français maladroit. Dès les années 70, ce jeune blanc rebelle remua les consciences en épousant la cause zoulou, fréquentant les townships et s'affichant dans des formations multiraciales.
On retrouve sur "One Life" les caractéristiques de sa musique, combinaison à haute teneur énergétique de rythmes binaires du rock et de polyphonies vocales zoulou, qui a fait sa réputation dans les tubes "Scatterlings from Africa" (1982) ou "Asimbonanga" (1987). Mais Clegg, 53 ans, toujours en prise avec les bouleversements de la société sud-africaine, y intègre de nouvelles données. "Il y a du hip hop, du raï, du reggae, de la dance music, du kwaito", explique le musicien, qui joue de la guitare acoustique, des claviers, du concertina.
Mixé dans les studios Real World de Peter Gabriel en Angleterre, »One Life» emprunte également au reggae et à l'afro-cubain, mais le côté rock et pop y prend petit à petit le pas sur la partie "roots» et »world». Sur cet album, Clegg s'exprime en quatre langues. »Je chante en anglais, en zoulou» (que cet ancien étudiant en anthropologie maîtrise à la perfection), »mais aussi en afrikaans (NDLR: langue des afrikaaners, communauté blanche d'Afrique du Sud d'origine néerlandaise qui systématisa l'apartheid en 1948) dans un but de réconciliation, et en scamto, nouveau langage codé des jeunes des townships», raconte l'ancien leader des groupes Savuka et Juluka.
Via ce nouveau disque, publié simultanément en Europe, aux Etats-Unis, au Canada et dans une partie de l'Afrique, Clegg souhaite s'extirper du statut de figure historique de la lutte anti-apartheid, dont il est prisonnier. Il veut regagner une crédibilité dans son pays, où Freshly Ground, un nouveau groupe de pop multi-racial, est aujourd'hui plus connu que lui.
"Je travaille très dur pour me refaire", avoue ce combattant, qui a englouti une partie de ses économies dans une entreprise de production musicale qui a fait faillite.
Après le concert (complet) au Grand Rex dimanche, avec en première partie The Gospel Choir of Soweto, Johnny Clegg jouera à Nevers le 23, Luxembourg le 24, Mantes-la-Jolie le 25 et Saint-Quentin le 28. Une tournée en Europe et aux Etats-Unis est prévue au printemps. Sans doute gratifiera-t-il encore son public de ses fameuses danses guerrières zoulou, rituel qui a toujours fait partie d'un show mené tambour battant.
16 novembre 2006
Peter Gabriel Designated 2006 Man Of Peace By Nobel
Gabriel was designated 2006 Man of Peace for "his great contribution and commitment to peace and human rights", organizers said in a statement.
Among his numerous initiatives, organisers singled out his efforts to fight apartheid. In 1980, Gabriel published "Biko", a heartfelt plea not to forget the south-African leader Steve Biko, murdered in September 1977 in a prison in Port Elizabeth.
Former South African president Frederik Willem de Klerk will be among the Nobel Peace Laureates attending the ceremony.
The annual Summit of Nobel Peace Laureates, promoted by Gorbachev and the City of Rome, has reached its seventh edition.
This year's edition focuses on the dangers of atomic energy.
14 novembre 2006
Pioneering the Avant-Garde - Lisa Paul Streitfeld
Katché: Jazz album of the Year
His recording on ECM assembles a cast as unexpected as it is convincing: the Polish trumpeter Tomasz Stanko, and members of Stanko's quartet Marcin Wasilewski, piano, and Slawomir Kurkiewicz, bass, meet Norwegian saxophonist Jan Garbarek, playing in peak form. The chemistry of the team is a perfect blend, both amongst the rhythm section and between the horn players. At once delicate and relaxed, Katché's compositional sketches unfold gracefully. His lucid drumming never forces itself into the foreground of this fascinating and well-made French-Polish-Norwegian production that emphasizes the musical qualities of European neighborliness."
The award will be presented to Manu Katché on Saturday, 18. November 2006, at the Berlin Musikinstrumenten-Museum.
Katché can also be heard on several ECM recordings with Jan Garbarek, including the acclaimed "In Praise of Dreams", released in 2004. He is currently on tour with the Jan Garbarek Group.
12 novembre 2006
"What is INDIE?"
The nominated songs are "We Can Take Care of Each" by Philadelphia artist Gina Kaz and "Citysong" by Montreal artist Andrea Revel. The 3 other nominees in the category are songs used in productions by major studios Fox Searchlight, ABC Family and the WB.
"This is yet another example of the ever-changing landscape in the entertainment industry, where do-it-yourself artists and productions can now compete directly with major studios and record labels." Dave Cool, Director, "What is INDIE?"
Judges for this year's awards include Peter Gabriel, Ozzy Osbourne, Cyndi Lauper and Suzanne Vega. More information about the 6th Annual Independent Music Awards can be found online: http://www.musiciansatlas.com/pages/IMAFinalist/
Port Elizabeth
...Such are the joys of the Garden Route that it is easy to spend a week just mooching along this coastline. We have flown into Port Elizabeth, the first major centre at the eastern end of the Garden Route, with some trepidation. In the annals of apartheid this lovely town, with its long, flat beaches and relaxed atmosphere, is remembered as the place where Steve Biko was bashed while in custody in 1977. He died after being taken to Pretoria. If you know Peter Gabriel's song Biko, it is impossible to arrive in Port Elizabeth without the words of the opening verse echoing in your mind: 'September '77 / Port Elizabeth, weather fine / It was business as usual / In police room 619."
Out of Africa
Thanks to artists like Peter Gabriel, who introduced Youssou N'Dour to non-African audiences, and Paul Simon, whose 1986 album "Graceland" brought Ladysmith Black Mambazo to prominence, the music of Africa is not unknown away from its home continent.
Those who want to explore African music more deeply have the opportunity Tuesday at B.B. King's Blues Club and Grill as Putumayo, the multicultural retailer, presents "Acoustic Africa," a tour comprised of three of the musicians featured on the eponymous album -- Vusi Mahlasela, Habib Koité and Dobet Gnahoré.
Mahlasela first came to prominence when fellow South African Dave Matthews featured his singing on "Everyday." Mahlasela's music is melodic and showcases the unique guitar style he developed teaching himself on a homemade instrument. Mahlasela has finished a new record, "Guiding Star," with Matthews, Derek Trucks and Ladysmith Black Mambazo. "I think this album brought together all the right forces," Mahlasela says. "These were people who helped me, who were my guiding stars. I'm calling the album that."
Mahlasela says he is enjoying touring with Koité of Mali and Gnahoré of Ivory Coast -- both former French colonies -- even though they don't all speak the same language. "It's been great performing with and listening to the other artists. They've brought this musical energy and we're sharing it with audiences," Mahlasela says. "The music we play has different languages and different styles. But you hear the melodies, and you can hear that all of the influences of the music in Europe and in the States draw back to Africa."
Although Mali is landlocked -- the music of Africa has been influenced by traffic through its ports -- Koité says there was no shortage of inspiration for him and his band, Bamada. "We touch seven or eight countries," he says. "In Mali, we have some of the music of the many countries we touch." Koité had come to the attention of Americans thanks to his duet with Bonnie Raitt on her 2002 album, "Silver Lining." Raitt and Jackson Browne, another Koité fan, have visited him in Mali.
"Bonnie is like a sister to me. She has come to my home, which in Mali is a great thing," Koité says. "Jackson first came to my gigs in Los Angeles. It was a dream for us to see him. Everybody was saying, 'Jackson Browne. This is not possible.' " What has been possible on this tour is for the three performers to blend their music and cultures. "Vusi, Dobet and I can make one very good mix," Koité says. "If I give Dobet one of my songs I have written, I have to tell her what it means. We have to learn each other's Africa."