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(Atom) Gabriel Real World News

11 février 2010

Scratch My Back !

Exclusive album preview – Peter Gabriel: Scratch My Back

Let us know what you make of the first Peter Gabriel record in eight years, which covers Talking Heads, Radiohead and Bowie

For his first studio album in eight years, Peter Gabriel came up with an audacious plan. He decided to cover the work of his favourite artists and, in exchange, they would do the same for him. Scratch My Back is the first instalment of this project, and sees the 59-year-old, ex-Genesis man cover the likes of Radiohead, Talking Heads and David Bowie. The artists whose songs you hear here will be returning the favour by performing Gabriel's songs on a forthcoming album, I'll Scratch Yours.

You can hear Scratch My Back using the widget below. So has Gabriel improved on the originals here? Let us know in the comments section!

17 décembre 2009

Peter Gabriel vu par Franck Buioni

1977. Les hordes punks ont déboulé dans le paysage rock des seventies. The Sex Pistols, The Clash et The Jam réinstallent l’urgence rock, une notion totalement disparue durant l’époque progressive. Elvis est sur le point de mourir, les Rolling Stones font l’objet de toutes les suspicions et même les Beatles sont voués aux gémonies par les plus radicaux d’entre eux. The Who, The Pink Floyd ou Led Zeppelin donnent l’impression d’avoir perdu toute créativité, toute vitalité, toute énergie. Peter Gabriel, lui, avait pris la tangente dès 1975, disparaissant de l’espace musical britannique par un rejet immodéré du show business. I. L’électronique emplissait les studios, la crise s’installait pour durer et les minauderies tombaient en désuétude. L’avenir s’annonçait incertain, sombre et inquiétant. Mais justement, Peter Gabriel était l’homme de la situation, excellant dans le domaine du mystère, des ténèbres et des interrogations. Le moment semblait propice, et il savait que la décennie à venir serait sienne…

Chez Camion Blanc
Auteur Franck Buioni
Prix 32 €
Nombre de pages 448
ISBN 9782357790384
Code CB89

05 avril 2009

Peter Gabriel soutient Manu Chao passible d'une expulsion

Le musicien et chanteur britannique Peter Gabriel a défendu vendredi le chanteur franco-espagnol Manu Chao, confronté à une menace d'expulsion du Mexique après des propos dont les autorités examinent actuellement l'éventuel caractère d'ingérence politique.

Peter Gabriel a estimé que Manu Chao avait «absolument» le droit de s'exprimer sur la violente répression d'une manifestation qui s'est déroulée en 2006 dans l'Etat de Mexico (centre).
«Nous sommes tous des citoyens du monde et avons des responsabilités qui nous tiennent à coeur, en relation avec notre conscience et le monde», a affirmé Peter Gabriel, fondateur en outre de l'organisation Witness qui soutient les défenseurs des Droits de l'Homme dans la création de vidéos.

Les autorités mexicaines examinent la possibilité d'expulser du Mexique Manu Chao, lui reprochant des propos pouvant être considérés comme une ingérence dans la politique mexicaine, avait indiqué à l'AFP jeudi le ministère de l'Intérieur.

Peu après, le chanteur, qui participe au Festival International du Film de Guadalajara (ouest), avait annulé «pour des raisons privées», le concert qu'il devait y donner jeudi après la projection du documentaire «LT22 Radio La Colifata», qu'il a soutenu et dont il a composé la musique.

L'auteur de «Clandestino» avait qualifié mardi de «terrorisme d'Etat» une intervention policière en 2006 à San Salvador Atenco, dans la banlieue de Mexico.

Le 4 mai 2006, 2.000 policiers anti-émeutes avaient investi le village pour libérer 11 agents séquestrés par des villageois après des heurts violents, consécutifs à une tentative des policiers de déloger par la force des vendeurs ambulants et qui avait dégénéré en bataille rangée, faisant deux morts.

Lors de l'intervention, plus de 200 personnes avaient été arrêtées et des brutalités policières, ainsi que des agressions sexuelles, avaient été dénoncées.

L'article 33 de la Constitution mexicaine prévoit que «les étrangers ne peuvent en aucune manière s'immiscer dans les affaires politiques du pays» et que le gouvernement a «le pouvoir exclusif de leur faire quitter le territoire national», immédiatement et sans jugement.

Source: AFP

20minutes, Act. 27.03.09

Rockers blancs, cœur noir



Peter Gabriel, David Byrne, Damon Albarn : trois rockers qui ont voué leur énergie à la scène world. Simple thérapie, besoin d'ailleurs ou volonté militante ? David Byrne sera ce soir à l’Olympia.

Trois stars du rock, Peter Gabriel, David Byrne et Damon Albarn. Leur péché mignon est la world music. Fans subjugués, ils sont devenus les apôtres passionnés des artistes du Sud dont ils se sont entichés. Pour eux-mêmes, ils n'auraient probablement pas osé déployer pareille énergie prosélyte. Mais afin de propager la parole du Pakistanais Nusrat Fateh Ali Khan, du Brésilien Tom Zé ou du Nigérian Tony Allen, ils sont allés jusqu'à créer des labels spécifiques. Quel est le moteur qui a poussé ces visages pâles nés de l'autre côté de la Manche à promouvoir les musiques colorées issues de tous les horizons de la planète ? Quelles sont les motivations de ces « passeurs », trop vite suspectés de chercher un coup de pub ou de vouloir s'acheter une bonne conscience ? Trois hommes, trois parcours...

L'enfance et l'histoire personnelle

Né en 1950, Peter Gabriel s'emballe très tôt pour la soul music avec, dès l'adolescence, un coup de foudre pour les rythmes africains via un morceau du bluesman-rocker Bo Didley, imprégné de rumba congolaise... L'engouement hippie pour le peace and love, sitar indien et flower power compris lui fera creuser le même sillon mondialiste.

David Byrne, né deux ans plus tard en Ecosse, est encore un bébé quand sa famille s'installe au Canada, puis à Baltimore, sur la côte Est des Etats-Unis. « Enfant, je voulais que l'on m'accepte, je voulais être un Américain moyen. Plus tard je me suis aperçu qu'avoir deux cultures présentait un avantage », déclare-t-il à Globe en 1987. Voilà qui rappelle le nomadisme de bien des musiciens expatriés. Pas étonnant qu'il ait très tôt appris le violon, l'ukulélé (guitare hawaïenne) et l'accordéon. Ou qu'il ait emprunté quantité de disques « ethniques » à la bibliothèque de son quartier.

Damon Albarn, né en 1968, est d'une autre génération. Il est assez discret sur son enfance londonienne. Mais ses parents, artistes designers, écoutaient des musiques arabes et son père a écrit un livre sur la culture islamique. Le goût de « l'autre » lui est donc forcément venu très tôt.

Le déclic et ses détours

D'abord batteur avant de devenir chanteur, Peter Gabriel quitte Genesis en 1975. Son électro-funk planant en solo culmine au début des années 80. C'est alors qu'a lieu le virage politico-humanitaro-musical qui s'incarne dans les tournées Human Rights Now !, organisées par Amnesty International. Dès lors s'élabore un mini-empire (si l'on peut dire) de la world music naissante. En 1982, il lance le Womad, festival mondial itinérant, avec, à l'affiche, dès la première édition, les Tambours du Burundi et les Musiciens du Nil. En 1989, il crée le label Real World, consacré aux musiques du monde, où se croisent Papa Wemba, Geoffrey Oryema, Toto La Momposina... Dans la foulée, il reconvertit un ancien moulin des environs de Bath en studios high-tech où il organise des rencontres entre musiciens venus de tous les continents.

Beaucoup moins d'activisme du côté de David Byrne, le compositeur-parolier-guitariste et chanteur à la voix gorgée de soul du groupe Talking Heads. En pionnier d'une world music avant la lettre, il avait dès la fin des années 70, avec Brian Eno, puisé dans les polyrythmies africaines avant de sampler du gamelan balinais ou des muezzins arabes. Au début des années 80, Byrne fréquente les soirées Salsa meets jazz, organisées à SoHo, au SOB (Sounds of Brasil). Ses idoles se nomment alors Celia Cruz, Johnny Pacheco, Ray Barretto. Il les invite sur son album Rei Momo et sur la BO du film de Jonathan Demme Dangereuse sous tous rapports. Est-ce un hasard ? Son engagement pour les musiques du monde, comme celui de Peter Gabriel, s'accentue après la rupture avec son groupe, allant de pair avec sa carrière en solo. Premier palier : il réalise des compilations sur cassettes pour des amis. Deuxième étape : il crée le label world Luaka Bop, où il accueille la crème des musiciens latinos, le Brésilien Tom Zé, qu'il sort de l'oubli, la Péruvienne Susana Baca, à qui il offre une production à sa mesure.

Damon Albarn, la voix des groupes Blur (brit pop) et Gorillaz (rock électro virtuel), se familiarise, lui, avec les musiques africaines en fréquentant un disquaire world de Portobello, le repaire bobo où il habite depuis dix ans, dans l'ancien quartier jamaïcain de Londres. A la demande de l'ONG anglaise Oxfam, il se rend pour la première fois au Mali en 2000. Son Mélodica (hybride harmonica-orgue) en bandoulière, il y enregistre, au bénéfice de la scolarisation des enfants des rues, l'album Mali Music, qui allie le son mandingue au dub et à la techno. Mais Albarn ne s'arrête pas là. A partir de 2002, il codirige le label Honest Jon's, où il accueille l'afro-beat atmosphérique de Tony Allen ou le chaâbi enjôleur d'El Gusto. Sans se faire prier, il participe aussi aux enregistrements de figures comme Amadou et Mariam ou U-Cef. Et, révulsé par l'absence de musiciens world au Live 8, organisé par Bob Geldof en 2005 – excepté Youssou N'Dour, appelé à la rescousse en dernière minute –, il se lance dans l'aventure Africa Express : ces concerts, en forme de gigantesques jam sessions itinérantes, associent artistes du Nord et du Sud (Rachid Taha, Femi Kuti, Baaba Maal...), sur les scènes de Londres ou de Lagos, comme celles de Liverpool ou de Kinshasa. Un peu comme le festival Womad de Peter Gabriel, mais loin de tout business et avec un culte revendiqué de la spontanéité.

Le comment et le pourquoi

Damon Albarn semble s'être construit en opposition à Peter Gabriel. Il ne se prive d'ailleurs pas de critiquer la démarche de son aîné. « Dans les studios Real World, on ajoute des effets technologiques aux musiques du monde, on les triture, on les mélange. Donc on les tue, on les dénature. Cela devient de l'ambient music », déclarait-il récemment dans une interview au Monde...

Albarn affiche ainsi une certaine dose de mauvaise foi. Car s'il peut s'enorgueillir d'aller sur le terrain, il ne se prive pas lui non plus de « triturer » ou de « dénaturer », et ce dès le patchwork dévertébré de l'album Mali Music. Le purisme intégriste n'est de toute façon plus à l'ordre du jour, même pour les connaisseurs les plus exigeants, désormais convaincus que les musiques du monde ont toujours évolué avec leur époque – faute de quoi la plupart d'entre elles seraient déjà mortes. Dans le même temps, l'autre injonction, celle de la modernisation à tout prix a, elle aussi, pris un coup de vieux. Personne ne s'en plaindra. Peter Gabriel comme Damon Albarn éditent, sur leurs labels respectifs, aussi bien des hybrides allant jusqu'à l'électro que des albums purement roots. Chez Real World est même paru un des opus « traditionnels » les plus réussis de Nusrat Fateh Ali Khan. Chez Honest Jon's, les toutes dernières parutions sont consacrées à de superbes archives EMI : les unes, irakiennes, remontent aux années 20, les autres vont du gamelan balinais aux joyaux marocains, soudanais ou trinidadiens enregistrés pendant la première moitié du XXe siècle.

S'il est un terrain sur lequel nos rockers se rejoignent finalement, c'est celui de l'effet que cette rencontre avec les autres musiques a eu sur eux. Damon Albarn : « Le fait d'aller en Afrique a profondément changé ma vie et d'une certaine manière ça a fait de moi tout ce que je suis aujourd'hui.(1) » Peter Gabriel : « Lorsque je suis en Afrique, je deviens le cousin libéré de celui, un peu coincé, que je suis habituellement. » David Byrne : « Je me suis soigné tout seul en dansant le merengué. »

La world comme thérapie ? Comme apprentissage d'un rapport plus physique, moins cérébral à la musique ? Il y a beaucoup de cela chez nos trois zélateurs des musiques du monde, qui disent aussi chercher (et trouver) dans ces télescopages Nord-Sud de nouvelles voies d'exploration pour leur propre cheminement musical. Si l'on devait définir, en forçant le trait, la spécificité de chacun d'entre eux ? Peter Gabriel serait un militant un peu austère qui cherche à s'encanailler tout en se donnant bonne conscience ; David Byrne, un collectionneur impatient de partager ses coups de cœur, quitte à plonger dans la poussière des vieux entrepôts cubains pour dénicher quelques perles ; Damon Albarn, l'hédoniste ravi de voir du pays et de se faire de nouveaux amis.

Certains s'obstinent pourtant à qualifier ces aventuriers de vils opportunistes, d'affairistes, voire de colonialistes ! Pauvres gentils passeurs venus du rock qui avaient pour une fois mis une sourdine à leur ego…

Eliane Azoulay, Télérama n° 3089




29 mars 2009

Peter Gabriel : « J’espère que ça va bientôt arriver »

Fondateur du groupe Genesis en 1967, impliqué dans l’action humanitaire et les droits de l’homme, parmi les 100 personnalités au monde les plus influentes (Time Magazine, 2008), Peter Gabriel souligne l’importance de la reconnaissance du Génocide des Arméniens dans un entretien publié dans le magazine Condé Nast Traveler, consacré aux voyages haut de gamme.

« Lorsque j’ai écrit la musique du film ‘La Dernière tentation du Christ ‘(1), j’ai tout de suite pensé au duduk arménien qui est l’un des instruments les plus soul qui soit. J’ai aussi visité le Mémorial du génocide dédié aux 1,5 millions victimes de 1915, à l’occasion de l’anniversaire du joueur de duduk Djivan Gasparyan. Les Turcs nient le génocide, la Grande-Bretagne et les États Unis ne l’ont pas correctement reconnu. J’espère que ça va bientôt arriver. », a-t-il dit. Concluant, « Comme la ‘Commission Vérité et Réconciliation’ (2), en Afrique du Sud, vous avez besoin de clarifier le problème et accepter ce qui est arrivé par le passé avant d’être libre de vos mouvements. »

Jean Eckian

(1) La Dernière tentation du Christ (1988), de Martin Scorsese, dans lequel on entend la complainte du duduk joué par Djivan Gasparyan.

(2) Commission chargée de découvrir et de révéler les fautes commises par un gouvernement. C’est Nelson Mandela qui l’avait mise en place après l’abolition de l’apartheid.

http://www.info.gov.za/otherdocs/2003/trc/

mardi 10 mars 2009,par Stéphane/armenews

08 mars 2009

Joost Pushes Its Video Through Netlog, Keeping It In The Family

VOD site Joost and pan-European social network Netlog, have signed a content sharing partnership giving the latter’s 41 million users access to Joost’s 57,000 TV shows, music videos and films. Joost benefits through more exposure and traffic for its catalogue and ads, while Netlog has some extra stickiness to keep its young audience coming back.

The Joost/Netlog connection is not such a shock. The pair have a venture capital backer, Index Ventures, in common. Index has been actively promoting its portfolio companies’ interests of late eg. creating a Twitter feed to blast out their messages. If it was responsible for marrying Joost and Netlog, then it’s a strategy that mirrors a recent link-up between music player We7 and music recommendation service The Filter. Both individually backed by Peter Gabriel’s Real World Group, the companies recently began sharing technology.

In this link-up, all Netlog members will be kept up to date with Joost activity in their main news feed and will be able to show friends their viewing habits and opinions of shows. Joost will be creating or commissioning content specific to Netlog’s key markets of Belgium, the Netherlands and Germany.

This is the second video site to sign a content-sharing deal this week: on Monday US VOD site Hulu signed a deal to syndicate its 40,000 TV show and film videos to French VOD site Dailymotion.com, but unfortunately for Europeans it only extends to America.

By Patrick Smith , Paid content, Thu 05 Mar 2009

Artists announced for Peter Gabriel's WOMAD debut in Abu Dhabi next month

UAE. Abu Dhabi Authority for Culture and Heritage (ADACH) and WOMAD (World Of Music Arts & Dance) yesterday announced that the WOMAD Abu Dhabi three-day open-air festival is to be held on the evenings of Thursday 23, Friday 24 and Saturday 25 April on the Abu Dhabi Corniche, with an additional, special one-off concert on Friday 24 April at Al Jahili Fort in Al Ain. Furthermore, entry to both venues will be free of charge.

‘The Corniche, with its backdrop of traditional architecture juxtaposed with modern cosmopolitan towers, provides the perfect stage for ADACH and WOMAD to promote their shared vision of bringing diverse cultures and peoples closer together through the music, arts and dance of many different countries and cultures around the world.

"By hosting this three-day open-air festival, the first of its kind in the Gulf region, Abu Dhabi will bring a whole new cultural experience to the people of the UAE and will attract an audience from across the Gulf region and beyond, as well as offering the world an insight into the proud traditions and culture of the UAE," said HE Mohammed Khalaf Al Mazrouie, Director General ADACH.

"We are delighted to begin a relationship with ADACH and Abu Dhabi. It is a great opportunity for WOMAD to find a home in the Gulf region. We have taken WOMAD to many places in the world, but this will be our first event in the Middle East, a part of the world whose strong and rich culture has been one of our inspirations. We are excited to be bringing our festival to all of the different peoples who make up modern day Abu Dhabi," said Peter Gabriel, Co-founder of WOMAD.

"ADACH has a very powerful vision for the role of culture in Abu Dhabi and it is a privilege for WOMAD to be able to play a part in delivering that vision of bringing cultures together as we have done successfully all over the world," said Chris Smith, Director, WOMAD.

An exceptional line-up of artists performing at the festival has been selected from around the world and within the Middle East region to provide a truly international experience.

The artists already confirmed for the WOMAD Abu Dhabi festival include: Abdulla Chhadeh & Syriana (Syria/Europe), Dulsori (Korea), Dhafer Youssef (Tunisia), Etran Finatawa (Niger), Paprika Balkanicus (South Europe), Rizwan-Muazzam Qawwali (Pakistan). Souad Massi (Algeria), Trilok Gurtu (India).

More artists will be announced over the coming weeks. (....)

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Hits of Sunshine

Joseph Arthur and the Lonely Astronauts

There is something inherently immoral about the "shuffle" setting on iPods. Even archaic CD players allowed the listener to jumble tracks of a certain album if he so chose.

Albums weren't meant to do this. The most interference a cassette tape or record got was a swift flip. Now Apple shamelessly allows the mixing of thousands of songs with no qualms about how their redistribution might affect, well, everything. I imagine artists create albums with the idea that they will be listened to in their entirety. Therefore, I abstain from shuffling.

With that said, you will note that I was outside my head the other day, as my iPod was indeed on shuffle. Serving as background noise as meaningless as strangers' conversations, the random selections warranted no particular feelings. I know my music well, so when a song came on that I hadn't instantly recognized, I didn't quite know what to do. A glance at my iPod's display read: Joseph Arthur and the Lonely Astronauts, "Faith."

Joseph Arthur began writing music as a teenager. The Ohio-based musician dabbled in electronica before discovering his signature guitar-centric style. In the early 90s, Arthur signed to Peter Gabriel's record label, Real World Records. After five studio albums, Arthur decided to keep his touring band around for albums six and seven, and establish his own label, Lonely Astronaut Records. His latest release, Temporary People, includes musicians Sibyl Buck, Kraig Jarret Johnson, Jennifer Turner, and Greg Wieczorek.

I clumsily paused the song to see if I could compel any more information out of the slight electronic. I had the entire album, but this Joseph Arthur sounded almost nothing like the guy I fell in love with after hearing "In the Sun" off 2000's Come to Where I'm From.

I slipped a little further out of my head listening to Arthur's haunted voice on "Faith." His grainy vocal offsets nearly cheerful guitar riffs and cymbal-thick drums. "Faith comes in little waves," Arthur offers with a bit of optimism, as "the pain is what makes you believe." The Lonely Astronauts' chorus punches through the heavy-handed instrumentation with bright belts of affirmation making the song's mood more buoyant than glum.

Now that my brain is square between my ears, I may confidently propose that to shuffle is to discover. I am in no way convinced that this happy bit of chance absolves any of the aforementioned offenses, but I suppose music's value surfaces when it is listened to rather than heard.

Amy Salisbury, The csusm pride, Issue date: 3/3/09 Section: Arts & Entertainment

Youssou N'dour ressucite Bob Marley



LE FESMAN 2009 EN MARCHE… YOUSSOU NDOUR RESSUSCITE BOB MARLEY

Après avoir visité le patrimoine musical européen, américain et oriental, Youssou Ndour investit les racines pures de la musique noire. Le lead vocal du Super Etoile se rend en Jamaïque pour réaliser un «album-hommage» à Bob Marley et Lucky Dube, dans le cadre du Festival mondial des arts nègres de 2009 (Fesman). Tous les deux icônes du reggae, bien que décédés, restent vivants dans le cœur et l’esprit de plusieurs millions de citoyens du monde.

Le déplacement de Youssou Ndour en Jamaïque s’inscrit dans le cadre du programme du Festival mondial des arts nègres de 2009 (Fesman) qui aura lieu à Dakar du 1er au 14 décembre. Un rendez-vous culturel qui va mobiliser des dizaines de pays à travers le monde, sous le parrainage du Brésil. C’est dans cette optique que le lead vocal du Super Etoile va travailler avec des musiciens de reggae, dans les studios de Bob Marley (légende vivante, décédé le 11 mai 1981). Il s’agira, selon le service de communication de l’artiste, de «retourner aux sources» de la musique ; le reggae symbolisant une certaine orthodoxie de la musique noire. Youssou Ndour, lancé par le Fesman dans cette initiative, va non seulement s’inspirer de l’immense répertoire culturel de la Jamaïque, en revisitant l’œuvre de Bob Marley, depuis ses premières expériences musicales, jusqu’à la maturité bien rendue. Une discographie riche que l’enfant de la Médina a, d’ailleurs, commencée à travailler dans le cadre de cet album qui, assurément, promet.

Feu, le rastaman Lucky Philippe Dube, un des héritiers de Bob Marley, tombé un certain 18 octobre 2007 à Rosettenville au cours d’une tentative de vol de sa voiture, sera aussi ressuscité, à travers cet album. Ce chanteur, né le 3 août 1964 à Ermelo, Mpumalanga, en Afrique du Sud et qui repose dans la mythique province de Kwazulu Natal, intéresse les initiateurs du Fesman et Youssou Ndour. L’œuvre de Lucky Dube est riche de 24 albums. Depuis Lengane Ngeyethu (1981), jusqu’à Respect en 2006, en passant par Rastas Never Die (1984), Think About The Children (1985), Together As One (1988), Prisoner (1989), Captured Live (1990), le chanteur sud-africain puise dans sa douloureuse expérience vécue, pour dénoncer le régime raciste dans lequel il a grandi. Des chefs-d’œuvre qui chantent la gloire et la renaissance du peuple noir. Youssou Ndour, initiateur, en 1985, d’un concert pour la libération de Nelson Mandela au Stade de l'Amitié de Dakar (Ndlr : Léopold Sédar Senghor), n’avance pas, en vérité, en terrain inconnu. Lui qui, dans la jeunesse de sa carrière, a eu, comme Lucky Dube, à dénoncer le régime raciste de l’Apartheid, à travers sa musique.

C’est donc un véritable retour aux sources pour le chanteur sénégalais qui a déjà travaillé avec des artistes de renommée internationale comme Peter Gabriel, Paul Frederic Simon. Car, même si Youssou Ndour a déjà joué avec des artistes comme le Camerounais Manu Dubango, le Congolais Koffi Olomidé dans l'album Bord Ezana Kombo ; même s’il a expérimenté les sonorités orientales, récompensé par les Grammy Awards pour son album Egypt dans la catégorie meilleur album de musique du monde, il reste qu’il n’a pas assez flirté avec le reggae, incarné par l’immortel Bob Marley. Un genre musical qui résiste aux assauts du temps.

La production déléguée du FESMAN 2009 envisage aussi de mettre à contribution les talents de Thione SECK et de Coumba Gawlo pour la réalisation du 1er disque de chants traditionnels africains au service des Etats-Unis d’Afrique. Et dans le cadre de ce projet culturel visiblement gigantesque, des noms d’artistes qui devaient être mis à contribution circulent dans la place. Il s’agit de Baaba Maal qui pourrait apporter sa contribution avec sa fibre plutôt blues, d’Omar Pène, de Didier Awadi pour ce qui est du Rap noir, de Coumba Gawlo Seck qui se positionne comme l’héritière africaine de Myriam Makéba, etc.

Article Par MARIA D. T. DIÉDHIOU et M. Wane, L'observateur Senegal, Paru le Samedi 7 Mar 2009

Joseph Arthur and the Lonely Astronauts, le 21mars à Brest



Vingt dates en France, une seule dans l'Ouest... Le Vauban, à Brest, a la chance - le mot est faible - d'accueillir Joseph Arthur, le 21mars. Découvert en 1996 par Peter Gabriel, «adoubé» par Lou Reed, il signe son premier album, «Big city secrets», sur le label Real World. Pas forcément simple d'accès, le disque s'impose petit à petit, à force d'écoute, comme un poison qui s'insinue. Ses autres albums auront, par la suite, la même saveur vénéneuse. Durs à percer, difficiles à définir, mais d'une grâce tout évidente.

Ballades «dylaniennes»

La musique de l'Américain s'apprivoise. Tourmentée, nocturne, son oeuvre est d'une grande singularité. L'homme est un parolier de premier plan, un peintre doué aussi. La période «Real World» offrira des morceaux au calme précaire, intimistes, à la violence sourde, à la puissance évocatrice étonnante, servis par une guitare sèche, un traitement de la voix audacieux et un harmonica «dylanien». Depuis quelques années maintenant, Joseph Arthur la joue collectif. Il se produira sur la scène du Vauban accompagné de ses «Lonely Astronauts», groupe composé de quatre autres musiciens dont deux femmes belles à tomber. Avec ce gang de «tueurs», il signe deux albums plus directs dont le dernier, «Temporary People», chez «Fargo», oscille entre ballades tamisées et rock'n'roll classieux. Joseph Arthur se produira aussi, le même jour et en solo, à 15h, pour un mini-concert à Dialogues Musiques, à Brest.

Pratique : Joseph Arthur and the Lonely Astronauts, le 21mars à Brest, au Vauban. Location à Dialogues Musiques, et sur internet: www.digitick.com Renseignements: 02.98.43.20.89

Damien Goret, le Telegramme de Brest, ajouté le 6 mars 2009

03 mars 2009

JOSEPH ARTHUR + KARKWA

Sur Culture.fr


JOSEPH ARTHUR & THE LONELY ASTRONAUTS + KARKWA

Spectacle

A la marge des grands courants, élevé par Peter Gabriel, qui révéla au monde le singulier Big City Secrets, Joseph a perdu en chemin le public tout acquis à LA cause folk sophistiquée, et gagné de l'autre côté de l'Atlantique un chœur de louanges inégalé. Poète moderne et héraut d'une Amérique souvent blessée. Les douleurs de l'introspection font place aujourd'hui aux joies du groupe, avec The Lonely Astronauts. Avec Sticky Fingers et Exile On Main Street en ligne de mire, Temporary People jubile et se décontracte, tout de guitares vêtu, d'orgues amples et de jolis chœurs.

Depuis dix ans, les Québécois de Karkwa ont franchi montagnes et tremplins pour affiner un projet artistique audacieux, quelque part entre M.Ward, Steve Reich et Patrick Watson, pour faire court.

Site internet : www.lacoope.com

Date / lieu / horaire :

JOSEPH ARTHUR & THE LONELY ASTRONAUTS + KARKWA - Representation
Le 17/3/2009
Jours d'ouverture : mardi
Horaires : 20h30
Tarifs : 17 euro(s)
COOPÉRATIVE DE MAI
rue Serge Gainsbourg
CLERMONT FERRAND 63100

01 mars 2009

B&W Music Club offers 24-Bit Versions

B&W Music Club albums now available in super high quality 24-bit versions. Even better sounding recordings for streaming. Members have more choice than ever before. 16-bit versions still available for burning to CD and uploading to iPods®.

The Peter Gabriel-curated B&W Music Club is expanding its campaign for high-quality music downloads by offering all new albums in 24 bit FLAC (Free Lossless Audio Codec). These incredibly high-quality music files get listeners closer than ever to the sound the artist heard in the studio.

Starting with an exclusive first opportunity to hear the new album from Mercury Music Prize nominated Portico Quartet, all B&W Music Club albums, which are specially recorded at Peter Gabriel's Real World Studios, will be available in this format.

This means that subscribers have a choice of three formats for download. The new 24 bit FLAC format, a 16bit FLAC version and a 16bit Apple Lossless version. The new file format is also available for people on a free trial, who can download an EP of 24 bit lossless music.

Even with this improved choice, the decision making process for which format users should download remains a simple one: iTunes users should stick to the 16bit ALC format; people wanting to burn the file to CD but use another music program can choose the 16 bit FLAC file. However, if you want to experience the benefits of 24 bit audio, then you can download the 24 bit FLAC file and listen to it either direct from your computer, stream it wirelessly using a device such as the Sonos system, or burn the file to DVD for playback in a disc player.

Since it's launch in May 2008, B&W Music Club has brought members a wide variety of different musical styles, all from exceptional artists: Gwyneth Herbert; Dub Colossus; former Suede frontman Brett Anderson; guitarist Tom Kerstens; 16-year old piano prodigy Benjamin Grosvenor and an exclusive lossless EP download from Dave Stewart. Future releases include the new album from Dengue Fever, a band that blends Cambodian pop music with West Coast psychedelic rock.

B&W offers free trial memberships via its website, where users can download a four-track EP a month for three months. Full membership of B&W Music Club allows you to download the full album each month, and costs $39.95 for six months or $59.95 for a year, which works out less than $3 an album.

For further information please visit www.bowers-wilkins.co.uk/sos.

Posted by Nicoll Public Relations, Inc. on Saturday, February 28, 2009

AR Rahman: "I share my Oscars with Peter Gabriel"

‘Oscar was like my national award’

CHENNAI: “There are many forces that divide us here from caste to religion. May music be the force that unifies us,” began AR Rahman, in a speech that was marked with characteristic humility and oodles of references to religion. Who better to state that than the musician himself who has left the entire country to collectively celebrate his arrival at the international platform with two Oscars? (...)

AR Rahman
says his award was a recognition for World Music, given the nature of his score for the film. “So, I thought I must owe it all to Peter Gabriel, the musician who is seen as one of the forerunners to propagate World Music. He has in fact, inspired many Indians like me and Mandolin U Shrinivas. I’d like to share my award with him,” Rahman said. (...)

Sharadha Narayanan, Express Buzz, 28 Feb 2009


Daniel Lanois Signs With UMPG

Universal Music Publishing Group (UMPG) has signed a publishing agreement with producer/songwriter/musician Daniel Lanois covering his catalog and future works.

"We are thrilled to welcome Daniel Lanois, one of the most distinctive and celebrated composers, songwriters, artists, and producers of our time, to our publishing family," said UMPG chairman and CEO David Renzer said in a statement.

Lanois has performed and/or produced albums for U2, Peter Gabriel, Bob Dylan, the Neville Brothers and many more. He is a co-writer and co-producer on U2’s upcoming “No Line On The Horizon.”

By Ed Christman, Billboard, N.Y., February 24, 2009 - Publishing

Rescuing Pakistan from the Taliban

In its 60-plus turbulent years as an independent country, Pakistan has been held together by its music, poetry, films, literature and sports. Pakistan is an overwhelmingly Muslim nation, but culture -- not religion -- is the glue that binds people in this critical U.S.-allied country.

But now the Taliban are grafting an alien form of Islam onto Pakistan, with dire consequences for Pakistanis, the region and possibly the world. Earlier this month the Pakistani government and army made a deal with the Taliban and gave them control of the Swat valley. The government ceded this region near the Afghan border after countless suicide attacks resulted in the loss of many military and civilian lives.

President Asif Ali Zardari's ill-conceived appeasement will only embolden the Taliban and may squelch more of Pakistan's voices of peace just when Pakistanis and the world need to hear them most.

In Swat and elsewhere in the North-West Frontier Province, arts and culture are under attack, as are women's rights. The city of Swat used to be a haven for arts, music and tourism. There is now eerie silence. The Taliban have shut down girls' schools, imposed sharia law and destroyed music shops. Cinemas are being locked down. The fanatics' idea is simple: to asphyxiate Pakistan's rich and vibrant culture and replace it with their own.

President Obama has promised to listen to the Muslim world. The president and Secretary of State Hillary Clinton and Pakistan and Afghanistan envoy Richard Holbrooke can start by listening to Pakistani artists who embody peace, modernity and cross-cultural dialogue.

For the past 20 years Pakistani music and pop culture has built a national and global following. The late Nusrat Fateh Ali Khan, the iconic Qawwali singer, collaborated with Peter Gabriel and Eddie Vedder of Pearl Jam. Pakistani rock bands and singers like Junoon, Strings, Jal and Atif Aslam have been huge draws in India, America and Europe. Last year Pakistani director Shoaib Mansoor's movie In the Name of God was a box office hit in both Pakistan and India. The film portrays the difficulties of being a liberal Muslim in Pakistan after 9/11 -- something that's just getting harder. (...) read more here

"Beyond Our Differences"


This ambitious 2008 PBS program asks the world's great thinkers and religious and political leaders for solutions to the world's many problems. Hopeful reflections come from such diverse people as Andrew Young, Peter Gabriel, Deepak Chopra, the Dalai Lama, Desmond Tutu and Noam Chomsky. Unrated, 72 minutes. No DVD extras. shoppbs.org.

http://www.beyondourdifferences.com/