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26 mai 2007

The new way to do Europe

OLBIA, Sardinia


The elite who vacation in Porto Cervo on Costa Smeralda (Emerald Coast) are more apt to come in by yacht. But, on EasyJet, about $120 can get you to the nearby town of Olbia, gateway to this stunning stretch of coast in the north.

It’s a strange combination—budget travellers mixing up with the likes of European royalty and rock stars like Peter Gabriel (who has a house in Porto Cervo). At this glamorous coastal town, your lunch bill can exceed your air fare. A five-minute drive from my hotel into town cost an outrageous $30 each way by taxi. On top of that, the English-speaking driver I hired at the airport charged almost $70 an hour.

But if you’re willing to forgo staying in the centre of things, life needn’t be that expensive. My hotel, the Grand Hotel of Porto Cervo, spread out on a slope above a rocky beach, offered every amenity, from tennis courts to three swimming pools. Even in summer, excepting the peak month of August, a double room can be had for $180 a night.

And meals can be good value if you know where to go. My driver took me to a local restaurant called Idea Food Piccola where, in typical Italian fashion, our lunch took 90 minutes. As I sat on the veranda of an old house, smiling waitresses brought out heaping platters of perfectly prepared, straight-from-the-Mediterranean seafood. The cost: $20.

The Emerald Coast was developed into a yachting haven in the 1960s by a consortium led by the Aga Khan, and the stunning beauty of the area can’t be ignored. Buildings had to be low density and adhere to strict architectural codes—low-rise, with red-tile roofs and buff-coloured walls. Just taking a walk—looking at the lush green hills carpeted with wildflowers and the wild olive trees—was a thrill.

The taxi driver who took me on a three-hour tour of the countryside and villages between Olbia and Porto Cervo kept criticizing the Costa Smeralda. “This isn’t the real Sardinia,” he said. “This is Disneyland. To see the real Sardinia, you have to go into the hills.” To make his point, he drove me to the house he was building. I could hardly believe my eyes. It was set in a field blazing with wildflowers. Half a mile away was a village on the slopes of a hill, topped with a small medieval castle.

This setting backed up his thesis that the focus of the wealthy foreign tourists on the sea was misplaced. Here, just half an hour from an area where oceanfront land sells for a small fortune, a taxi driver can afford to buy one of the most beautiful plots of land I had ever seen.

24 mai 2007

Angélique Kidjo : une Béninoise à la rencontre du monde

Angélique Kidjo n’est rien d’autre que notre chanteuse béninoise préférée. Son engagement d’artiste, notamment aux côtés de l’Unicef, n’a d’égal que son talent. Djin Djin, dans les bacs , sonne le retour d’Angélique à ses racines béninoises qu’elle fait découvrir à pléthore d’artistes. Ils l’accompagnent dans cette ballade au cœur des rythmes du Bénin profond. Entretien.

Alicia Keys, Amadou & Mariam, Branford Marsalis, Carlos Santana, Josh Groban, Joss Stone, Peter Gabriel et Ziggy Marley se sont joints à Angélique Kidjo pour son dernier opus. Guidés par sa voix et les percussions de Crespin Kpitiki et de Benoît Avihoue du groupe béninois Gangbé Brass Band, ils font de cet album une oeuvre plurielle et métissée sur les plans culturel et musical. On regrette pourtant l’absence de cette énergie explosive dont Angélique Kidjo est devenue le synonyme.

Afrik.com : Vous nous revenez avec votre dernier album Djin Djin sur lequel on retrouve de grands noms de la musique internationale. Qu’est-ce qui a motivé ces rencontres ?

Angélique Kidjo : Certains m’ont toujours posé des questions sur les rythmes que l’on retrouvait dans ma musique. Alors quand ils ont su que je préparais cet album, ils ont souhaité m’accompagner dans cette aventure musicale.

Afrik.com : Djin Djin est une oeuvre qui essaie aussi de passer des messages. Ae Ae dénonce, par exemple, le fait que les jeunes soient obligés de fuir le continent pour espérer un avenir meilleur, parfois au péril de leur vie…

Angélique Kidjo : Pourquoi, nous les Africains, sommes toujours obligés de sortir de chez nous pour nous réaliser ? Pourquoi devons-nous toujours souffrir de l’inconséquence de nos dirigeants ? Nos parents se saignent pour nous offrir la possibilité de réussir. Ce qui est bien n’est pas forcément à l’extérieur. La solution est peut-être aussi chez nous. Mais on encourage personne à les trouver. Il faudrait par conséquent encourager les initiatives locales. J’ai rencontré des jeunes qui me disaient qu’ils avaient des projets, mais que nulle part ils ne trouvaient d’aide. En Afrique, il faut qu’on apprenne à protéger les initiatives des autochtones au lieu d’ouvrir grand nos portes aux investisseurs étrangers sans qu’on ne leur demande rien en contrepartie. Comme exiger d’eux qu’ils aient un partenaire local. Nous sommes envahis par les produits chinois... Je ne suis pas contre la mondialisation, mais il faut un peu de régulation. Il ne faudrait pas que l’Afrique soit victime, encore une fois, de l’ esclavage, cette fois-ci économique. C’est certes notre faute, mais encore plus celle de nos gouvernants.

Afrik.com : La pochette de Djin Djin véhicule beaucoup de féminité, une espèce de sérénité…L’heure des bilans a-t-elle sonné avec Djin Djin ?

Angélique Kidjo : Je ferai un bilan quand je serai morte ! La sérénité, je l’ai toujours eue et je suis de plus en plus sereine. Je n’en suis pas moins sensible au fait que notre monde vit un tournant. On a l’impression d’être au bord d’un gouffre, entre la paix et la guerre. Quand on voit l’évolution du monde et qu’on a des enfants, on ne peut que s’inquiéter. Dans ce contexte, je fais mon maximum pour aider mon continent. Ma musique me sert à partager et à exprimer tout cela. Ce n’est absolument pas l’heure des bilans, mais je me remets beaucoup en question. Je me lance des défis parce que je ne veux pas que ma musique devienne quelque chose qui se fasse machinalement.

Afrik.com : Vous êtes ambassadrice itinérante du Fonds des Nations unies pour l’enfance (Unicef) depuis 2002. Comment cette prise de conscience s’est éveillée en vous ?

Angélique Kidjo : Elle a toujours été présente dans ma vie. Mes parents étaient des gens toujours à l’écoute des autres. Parfois, nous revenions de l’école et ils n’étaient pas là parce qu’on avait eu besoin d’eux. A la fin du secondaire, j’avais décidé de devenir une avocate spécialisée dans les droits de l’Homme. L’abus de pouvoir m’a toujours mise hors de moi, il tue beaucoup plus que toutes ces drogues, l’alcool contre lesquels on ne cesse de lutter…Des gens tuent des milliers de personnes sans jamais être inquiétés. Ce qui m’a poussée vers l’Unicef, c’est l’envie de faire comprendre que la vie est au dessus de tout.

Afrik.com : Les moyens dont vous disposez aujourd’hui ne sont pas ceux de vos premiers albums. Estimez-vous qu’il vous a manqué quelque chose qui pourrait être source de regrets aujourd’hui ?

Angélique Kidjo : Rien ne m’a manqué. Je les ai fait à des âges différents, à des endroits différents. Pretty, mon premier album, a été enregistré incognito quand j’étais au lycée. L’ enthousiasme qui m’a animée alors, cet enthousiasme qui vous prend aux tripes ne m’a jamais quittée depuis. Seulement, on grandit parce qu’il y a la vie, les rencontres : on évolue tout simplement. Je ne regrette aucun de mes albums !

Afrik.com : Famille et carrière ont-ils toujours cohabité en bonne intelligence ?

Angélique Kidjo : J’ai épousé un musicien, nous étions amis avant de devenir des amoureux. On a tourné ensemble pendant dix ans. Un jour, il a décidé qu’il en avait marre de dormir chaque nuit dans un hôtel différent, de prendre des avions à 3h du matin, qu’il voulait passer du temps avec sa fille. De 10 jours à 5 ans, notre fille nous a accompagnés dans tous nos déplacements. Quand l’école a commencé, il fallait un parent à la maison. Cela a été son choix. Les choses se passent bien quand on les organise. Lorsqu’on veut mener à bien une relation, on s’en donne les moyens et j’ai instauré dès le début le dialogue. La communication est omniprésente dans notre relation. Le principe vaut, pour moi, aussi bien dans le privé que dans le travail.

Afrik.com : Je parlais de féminité tout à l’heure. Que représente ce petit papillon qui traîne dans vos cheveux sur la photo qui illustre votre album ?

Angélique Kidjo : C’est le logo de ma fondation, la Fondation Batonga, que j’ai montée avec des partenaires aux Etats-Unis pour l’éducation secondaire. L’éducation pour donner des ailes aux jeunes filles afin qu’elles prennent leur envol à l’instar du papillon. L’éducation pour donner son envol à l’Afrique. Je me suis rendue compte, avec tous les voyages que j’ai effectués sur le terrain pour le compte de l’Unicef, qu’après le primaire, les enfants n’avaient plus la possibilité de poursuivre leurs études parce que leurs parents n’en avaient pas les moyens. L’éducation primaire est généralement prise en charge par l’Etat, pas le secondaire. L’objectif de la Fondation est donc de construire et/ou de restaurer des écoles secondaires pour permettre aux jeunes de poursuivre leurs études sans avoir à payer de frais de scolarité, surtout les filles. Les garçons sont aussi les bienvenus. La Fondation formera aussi des professeurs. Nous voulons également donner du travail aux femmes en leur permettant, par exemple, de vendre de la nourriture dans l’enceinte de nos écoles. L’habitude appartient à nos traditions, il faut la préserver d’autant plus qu’elle assurera aux enfants, au moins deux repas corrects par jour, et une indépendance économique aux femmes. La Fondation se chargera aussi de trouver des bourses aux enfants à la fin de leur scolarité. Le lancement de ses activités coïncide avec la sortie de Djin Djin. Nous commencerons par sept pays, le Bénin, l’Ethiopie, le Malawi, le Mali, l’Ouganda, le Sénégal et le Rwanda.

Afrik.com : Pour continuer à parler d’Afrique, on a l’impression de ne pas vous voir y voir souvent…

Angélique Kidjo : J’étais récemment en Afrique de l’Est. Il n’y a malheureusement que 12 mois dans l’année et il faut que chacun ait un peu de moi. Je fais par conséquent ce que je peux. Cependant tourner en Afrique n’est pas toujours facile et il est hors de question de faire des concerts au rabais.

Afrik.com : Quand Angélique Kidjo ne chante pas, que fait-elle ?

Angélique Kidjo : Je passe du temps avec ma famille…J’adore cuisiner et je fais beaucoup de sport. J’aime le sport, ça me libère la tête, ça me libère du stress et des frustrations. Je faisais de l’athlétisme et de la natation au Bénin. J’ai toujours fait du sport parce que je suis asthmatique et ma mère avait compris très tôt, contre l’avis de tous, que le sport était la seule solution pour vivre normalement.

Regarder les clips videos d'Angelique Kidjo ici!!

Angelique Kidjo feat Peter Gabriel- Africa Calling


- Angélique Kidjo se produira le 4 juin au New Morning à Paris.

23 mai 2007

Trances before Passion

Cannes Classics: "Trances" by Ahmed El Maanouni


Tonight, Cannes Classics, the festival program devoted to the discovery or rediscovery of heritage films of the past, gave the place of honor to Trances (1981), a film by Ahmed El Maanouni. It tells the story of how a group of musicians caused a social revolution in Morocco in the early 1970s.

By choosing a form of expression which was a radical departure from the invasive "languid Oriental sound," they became the spokesmen for a generation of rebellious youth. The screening of this film in a fully restored print took place in the presence of director Martin Scorsese, ambassador of the brand new World Cinema Foundation.

This non-profit organization aims to provide funding for the restoration and distribution of films from all over the world, especially Africa, Latin America, Asia, and Central Europe.

Martin Scorsese declared: “It was in 1981 while I was editing a film, The King of Comedy. We worked at night so no one would call us on the telephone and I would have television on, and one channel in New York at the time, around 2 or 3 in the morning, was showing a film called Trances. It repeated all night and it repeated many nights. And it had commercials in it, but it didn’t matter.

So I became passionate about this music that I heard and I saw also the way the film was made, the concert that was photographed and the effect of the music on the audience at the concert. I tracked down the music and eventually it became my inspiration for many of the designs and construction of my film The Last Temptation of Christ. The music was also the basis for Peter Gabriel’s music in the film. I would play the music for most of the musicians I knew, Robbie Robertson of The Band

What you see here is a mix of the poetry, the music and the theatre that goes way back to the roots of the Moroccan culture. And I think the group was singing damnation: their people, their beliefs, their sufferings and their prayers all came through their singing. And I think the film is beautifully made by Ahmed El Maanouni; it’s been an obsession of mine since 1981 and that is why we are inaugurating the Foundation with Trances.”

Ahmed El Maanouni also took the microphone and said a few words: “I would like to thank Martin Scorsese from the bottom of my heart, who, for me is someone who came to me from another planet. We make low-budget films in Morocco and that is why this is like a fairy tale for me. On behalf of all Moroccan filmmakers, I thank you from the bottom of my heart. I would also like to thank the Festival for opening its doors to us.

If we carry a torch of hope today, it is because Martin Scorsese has opened the dialogue and proved that we can be interested in each other’s culture, especially in places where there is so much conflict and strife. With Trances, I simply showed a respectful glimpse of an enormously talented group of musicians who represent so much to the young Moroccans, the whole continent in fact. I had the freedom to bring this project to fruition and I’m proud of the team that worked on it. Thank you, World Cinema Foundation, for your great ideas.”

http://www.imineo.com/loisir-passion/danse/transes-marocaines-video-3139.htm

Les vétérans sont de retour

Non contents de leurs succès passés, quelques grands noms de la variété internationale des années 80 et 90 continuent de parcourir les salles. OMD a débuté le 13 mai une série de concerts pour lesquels les nostalgiques n’auront que l’embarras du choix. Les quinquas du rock sont de retour

Rares sont les vétérans du rock qui sortent de nouveaux albums. Ils se contentent plutôt de raviver la flamme avec des "best of". En témoignent les derniers albums de George Michael, Peter Gabriel et Joe Jackson. Et c’est sans doute avec ce bon vieux répertoire, parfois revisité, que ces ténors mettront les fans en émoi. Fidèle à son piano et n’ayant rien perdu de sa voix, Joe Jackson se produira le 3 juin à l’Olympia. Il sera suivi de Georges Michael au RDS les 6 et 7 juin puis par Peter Gabriel le 22 juin à Marlay Park.

De INXS à Smokey Robinson en passant par Aerosmith

Bien que les "best of" soient une valeur sûre, certains anciens n’hésitent pas à retrouver les studios et s’adapter à l’air du temps. C’est le cas de Lionel Richie que l’on croyait définitivement oublié et qui a su mêler des rythmes très actuels à sa voix de toujours. Il jouera ce vendredi au Point. Moins innovant tout de même, INXS jouera le 27 juin à l’Olympia et gageons que le groupe nous resservira la Suicide Blonde. Ayant également sorti un nouvel album en 2006, les Who seront à Marlay Park le 29 juin, retrouvant leur passion du rock et une forme étonnante.

La saison 2007 nous réserve également le retour d’artistes qui semblaient relégués au passé avec Aerosmith qui se produira le 26 juin à Marlay Park et Rod Stewart qui chantera les 13 et 14 juillet au RDS. Et si vraiment vous êtes très très nostalgiques, Smokey Robinson viendra avec sa soul le 9 juillet à Vicar Street et Barbara Streisand bercera vos cœurs le 14 juillet à Casteltown House pour la modique somme de... 500€ !

Céline Leoni (www.lepetitjournal.com – Dublin) mercredi 23 mai 2007

Lionel Richie – 25 mai à 20h – Point – €65
Joe Jackson – 3 juin à 19h30 – Olympia – €31,60 / 33,60
Georges Michael – 6 et 7 juin à 17h – RDS Arena – €86,25 / 131,25
Peter Gabriel – 22 juin à 18h – Marlay park – €64,50
Aerosmith – le 26 juin à 18h – Marlay Park – €69,50
INXS – le 27 juin à 19h – Olympia – €37 / 39
The Who – le 29 juin à 18h – €69,50
Tous les billets sont disponibles sur : www.ticketmaster.ie

21 mai 2007

Gabriel at Mandela's birthday bash ?

Mandela hoping Spice Girls will perform at his birthday bash

London, May 21: A million pounds each may not be enough to reunite the Spice Girls, but perhaps a request from former South African President Nelson Mandela might do the trick.

An insider revealed that Mr Mandela was hoping that the British all-girl might reunite and perform a one-off charity celebrity extravaganza for his birthday. "It would make Nelson's day if the girls performed," the Mirror quoted the source, as saying.

Special invitations have already been sent out to Victoria Beckham, Mel B, Mel C, Geri Halliwell and Emma Bunton to join Mr Mandela, the first black President of SA, on July 28 this year.

Mr Mandela, the first black President of South Africa, will be celebrating his 89th birthday this year. Invitations have also been sent out to Queen star Brian May, Annie Lennox and Peter Gabriel.

20 mai 2007

Temple of Sound Biography

Temple of Sound’s music perfectly captures 21st Century London, while traveling the globe to create collaborations and innovations on the World Music scene.

What have Peter Gabriel, Anglo-Arabian diva Natacha Atlas, Pakistani musical royalty Rizwan-Muazzam Qawwali and UK dub poet supreme Linton Kwesi Johnson got in common? Well, they’ve all collaborated with Temple of Sound. Add to that a list of collaborators: flavor of the moment Mexico’s Los De Abajo, Jean Jacques Burnel (leader and bassist of The Stranglers), Cuban violinist Omar Puente (Afro Cuban All Stars) and Senegalese drummer Doudou N'Diaye Rose, and it becomes evident that the Temple of Sound duo of Neil Sparkes and Count Dubulah are buzzing with ideas and a sheer creativity that they are translating into great and innovative sounds.

Temple of Sound are Neil Sparkes, the vocalist, percussionist, poet and painter and Count Dubulah, responsible for the rolling dub bass lines and soaring melodic guitars. Together they have developed a unique writing, production and performance team at the fore-front of World Music, Dance and Dub for over a decade. Sparkes and Dubulah first combined their talents as producers and songwriters in TransGlobal Underground.

Founder member Count Dubulah and Neil Sparkes were at the forefront of the experiments in the early 1990s with world and dance music combinations when they were responsible for writing and producing large chunks of the seminal Dream of 100 Nations (1993) album and TransGlobal Underground’s commercially successful albums for Nation, BMG, Sony and MCA; including Templehead (1991) and the hit International Times (1994). As such they played a central part in the emergence of a distinctive global dance club sound.

Characteristically, Sparkes and Dubulah are still at the cutting edge, making great music and influencing many other artists. Temple of Sound's name may even be a tribute to that fact, as they are releasing their fifth studio album Globalhead on Namaste Records in May 2007; and their production work for a hitlist of World, Dance and Dub artists continues to push the barriers of World music forward . These include Los De Abajo (Real World) and Natacha Atlas (Beggars Banquet), nominated for Best Album in World Music Awards 2007.

Temple of Sound spent six weeks at the beginning of 2005 in Mexico City at the invitation of BBC Radio 3 World Music Award winners Los De Abajo to produce their new album.

The two groups first met in 2003 in Australia appearing at WOMAD festivals in Adelaide and Taranaki, New Zealand.

The album was recorded at Grammy Award winner Pepe Aguilar’s studio in Mexico City; mixed by Temple of Sound at Real World Studios, and is released in September 2005 on Peter Gabriel’s Real World Records. This production received acclaim in all the UK press, and saw the group appear on the Jools Holland Later show on BBC TV and play listing on BBC Radio 1 and 2.

Temple of Sound provided production, writing and playing duties for the new Natacha Atlas album Mish Maoul released on Beggars Banquet in 2006.

Sparkes and Dubulah are two maverick creators, and what bonds them together is a broad obsession with all sorts of musical styles : Latin, Dub Reggae, African, Arabic, Asian, House, Pop, Hip-Hop and a love of deep depth- charged dub bass. A fact proven by the wealth of Collaboration, Production and Live work the duo deliver. This generous melting pot of musical influences has seen the music of Neil Sparkes and Count Dubulah come full circle, from World to Dance Club and back again to something with its own distinctive sense of culture, strong tolerant and inclusive. There is a palpable sense of excitement about Temple of Sound. They are buzzing with ideas and a sheer creativity that they are translating into great and innovative sounds. Temple of Sound feels like an unstoppable force at the cutting edge of global culture.

Temple of Sound’s debut album First Edition, a fabulous mixture of beats and world music, was released by Wagram Music in 2002.

First Edition contains twelve tracks written and produced by Sparkes and Dubulah. The cover and inside booklet feature paintings and original artwork by Neil Sparkes. The video for their single “Chica Bonita” was produced by Seb Janiak of Daft Punk and filmed while the group were in Sao Paolo, Brazil, and received massive play internationally. In the last year the group have had tracks placed on over 40 compilation albums worldwide.

As producers, writers and musicians Temple of Sound made the album People's Colony No.1 for Peter Gabriel’s label Real World in 2001, with Rizwan Muazzam Qawwali (nephews of the late great Nusrat Fateh Ali Khan) with whom they then toured with throughout the UK and Europe appearing at international festivals as far afield as Sicily, Athens, New Zealand, Singapore, Belgium and Roskilde in Denmark.

In 2002 Temple of Sound co-wrote and produced the widely acclaimed Arabic tinged Dub epic Shout At The Devil with Jah Wobble for 30 Hertz Records. The album features vocal performances from Natacha Atlas, Shahin Baddar and Nina Miranda.

They have recently remixed DJ Cheb i Sabbah for Six Degrees in the USA; Ladysmith Black Mambazo; Claude Challe, (creator of the Buddah Bar) ; Lee Perry and The Congos; Banco De Gaia; Bollywood Brass Band; Fundamental and the Fatback Band; as well as doing mixes for Blood and Fire, Select Cuts, Sony, BMG, Maverick and MCA/Universal.

Neil Sparkes is co-writer with Peter Gabriel and Karl Wallinger of the Peter Gabriel single “Burn You Up, Burn You Down”, which appears on the massive selling Peter Gabriel Best Of collection Hit.

In 2003 Temple of Sound composed the title music for the feature film Stander (USA), and their music featured in the films “Les Gaous” and “Dillo Con Parole Mie”.

Temple of Sound’s music has been used by fashion designer Ferragamo for their summer collections and Valentino in their catwalk shows and by advertisers such as Pilot Pens and Adobe. The talented duo are developing work on original soundtracks and have composed and produced incidental music for features on BBC, ITV, Channel 4 and Sky Sports.

Temple of Sound is the culmination of Sparkes and Dubulah’s multiple musical experiences, which has resulted in a powerful and contemporary juxtaposition of global, popular and dance sounds.

The group have translated this onto stages across the globe from tours in 2003-2005 through Australia and New Zealand; Latin America; the Far East and Europe.

The group appeared at Glastonbury 2005 with a storming set. Temple of Sound released Gold Of The Sun (Diesel Motor) showcasing the group live at WOMAD UK and Las Palmas, and concerts in Switzerland. The 2 CD set includes live film footage and guests Jean Jacques Burnel (The Stranglers), Natacha Atlas, Mykaell S Riley, Wai and Jo Legwabe.

Globalhead came out on May 8th 2007 on Namaste Records (Koch Records) in the USA. The album features 12 tracks written and produced by Neil Sparkes and Count Dubulah aka Temple of Sound (ex-TransGlobal Underground) featuring guest appearances by some of the best World Music artists including Natacha Atlas, Rizwan-Muazzam Qawwali, Abdullah Chhadeh, Ben Baddoo, Junior Delgado, Jah Wobble, Dr Hukwe Zawose, Charles Zawose, Jo Legwabe, Adrian Sherwood, Getatchew Mekurya, Teremag Weretow, Nara and Jimi Papazanateas.

Official Web Site: www.templeofsound.co.uk