Articles review on the net, revue d'articles sur la toile


Inscription : feeds, flux :
(Atom) Gabriel Real World News

29 juillet 2005

Crowds gather for Womad festival

Youssou N'Dour performed with Dido at the Live 8 concert in Cornwall

Youssou N'Dour, Apache Indian and Nitin Sawhney are among the acts featured at the year's World of Music, Arts and Dance festival (Womad) in Reading.

The three-day festival featuring some 70 acts from around the world kicked off on Friday. Led Zeppelin's Robert Plant and the Strange Sensation will be among the first performers on stage.

Up to 26,000 people are expected at the festival, which celebrates a range of musical styles from gospel to reggae. Acts come from all over the world, including North Indian classical music star Sheema Mukherjee, East Africa's Mahmoud Ahmed and Bronx star Louie Vega.

Nitin Sawhney will perform on the closing night of the festival

The Spiegel Tent will invite local musicians to perform and be measured Gladiator-style - on a thumbs down or a thumbs up from the audience.

Rounding off the weekend, Nitin Sawhney will perform a DJ set in the 2,500 capacity Club Womad on Sunday. More than one million music fans have seen Womad events in 22 countries since the first festival in the UK in 1982.

Womad was originally inspired by singer Peter Gabriel to introduce a new audience to many talented international artists and gain an insight into other cultures. Gradually the festival has grown. In 1988, Womad events sprang up in Denmark and Canada and now festivals are annually held in Australia, New Zealand, Singapore, the Canary Islands and Sicily.

David Sylvian : Blemish

Blemish

Artist: David Sylvian (Samadhi Sound)

Reviewer: Chua Cher Toong

The enigmatic David Sylvian has always stubbornly crafted an idiosyncratic path when it comes to making music. Ever since his pioneering days with avant-garde popsters Japan in the early 80s, Sylvian has consistently kept to and expanded upon his innate experimental aesthetic, stretching the boundaries of pop music as far as humanly possible. In doing so, he created esoteric, intriguing and wondrous works that elevated him to the status of one of the boldest experimental rockers of the late 20th century.

Of course, all this has the expected, lamentable ramification of zero commercial success for Sylvian, despite his erstwhile track record of some modestly charting singles with Japan. Notwithstanding any obvious lack of mainstream chart recognition and the accompanying coterie of Lear jets, limousines and groupies attached to rock royalty like U2 and the Rolling Stones, Sylvian's oeuvre remains one of the most engaging and fascinating in rock-music history, along with the works of fellow avant-gardists like Scott Walker, Jon Hassell and Ryuichi Sakamoto (a frequent collaborator).

With masterful albums like the jazz-inflected Brilliant Trees, the epic prog-rockish Gone to Earth, and the spare, avant-poppish Secrets of the Beehive, Sylvian has helped to set the benchmark for cerebral, avant-garde pop and also championed the cause of oddball art-rock.
Blemish is Sylvian’s fifth studio album in a 20-year solo career, his tardiness following in the footsteps of great (and infuriating) musical perfectionists like Kate Bush and Peter Gabriel...

Echoes from the end of the world

Argentine accordion player Chango Spasiuk, one of the stars of this weekend's Womad festival, talks to Mark Hudson

'Imagine a pot that's been bubbling for 400 years," says Chango Spasiuk,
"with different musical influences being thrown in - African, baroque, Indian, Eastern European - but everything going on simmering together. That's the way music has developed in the tierra colorada - the red land."

Chango Spasiuk: 'If you're born in Argentina, you grow up in a certain air, with a certain rhythm'

A dashing figure with flashing eyes and a long red-gold mane, the 36-year-old accordion virtuoso about to appear at the Womad festival this weekend is the musical figurehead of Argentina's extreme north-east - the vermilion-earthed badlands of Misiones province. It's a place where life, culture and even music have been moulded by back-breaking agricultural labour - cultivating the leaves for the national beverage, mate.

While the character of Argentine music remains rather elusive in the eyes of the rest of the world, the status of its one great musical export - the tango - has been given an enormous boost by Gotan Project's stylish digital fusion. Yet the country also has a wealth of regional folk music, of which - according to Spasiuk - his own chamamé music is both the most distinctive and the most marginalised....

Womad is at Rivermead, Reading, from tomorrow until Sun. www.womad.org

28 juillet 2005

Peter Gabriel au travail sur I/O




Peter Gabriel au travail sur 'I/O ': "Je n'ai pas la moindre idée de lorsqu'il sortira "

Le numéro d'août du mensuel musical Mojo consacre un article assez long au nouveau et fantomatique album de Peter Gabriel, dont depuis longtemps on connaît le titre probable ( "I/O", comme "Input/Output") et à la provenance d'une grande partie du matériel, cumulé pendant une très longue procédure de sédimentation de "Up", le disque sorti maintenant il y a presque trois ans.

Mais le contenu du reportage au Real World Studios est que, comme il est de tradition, sur les temps de sortie et sur les contenus du travail ("chansons qui en grande partie parlent de vie et de mort", explique le musicien anglais) flotte toujours le plus épais des mystère. Gabriel y travaille dans ses quartiers généraux de Box avec Daniel Lanois et promet de s'y consacrer à temps plein d'ici la fin de l'année ; pendant que quelques premières pistes (qui incluent une nouvelle version de "Curtains", déjà sortie comme "face b" du single "Big time" en 1987) ont déjà été mixées par l'expert Tchad Blake.

Les idées dont Gabriel est parti pour développer le nouveau travail sont comme à l'habitude très nombreuses, plus qu'une centaine, et l'ex Genesis confesse de trouver, une inspiration particulière , en ce moment, lorsque il se trouve dans le train : "Actuellement c'est mon endroit préférée pour écrire. J'ai une théorie, celle que le cerveau est stimulé par le mouvement environnant ". Mais quand sera-il complété, "I/O" ? "Je n'en ai absolument aucune idée", admet Gabriel. Le fan aura ainsi le coeur en paix.

Le challenge des mélanges






Watch 'When I Close My Eyes'From Mantra recordings : You can take a look at the beautiful new video for 'When I Close My Eyes' - by clicking on these links to launch RealVideo: 'When I Close My Eyes' - hi

Le challenge des mélanges

«C’est un grand honneur d’être là », a déclaré Natasha Atlas, hier, lors d’une conférence de presse à l’hôtel Hilton. La sulfureuse chanteuse a fait son entrée plus égyptienne que jamais et excentrique jusqu’au bout des ongles. Un contraste avec la musicienne qui l’accompagne, Jocelyn Pook, dont le look est des plus simples et naturels. Ces deux artistes, qui se produiront ensemble, ce soir, ont commencé par exposer le programme de leur concert : une première partie où l’oriental et l’occidental seront en fusion.

Puis Natasha Atlas chantera seule avec son orchestre. Jocelyn Pook, pour sa part, a commencé par s’excuser de son « français terrible », mais elle a tenu à préciser qu’elle était très excitée d’être là. Elle a expliqué qu’elle fera écouter au public algérois différents morceaux, dont des musiques de films, dont Eyes Wide Shut de Kubrick.

Mais au fait, comment elles se sont connues ? C’était il y a 10 ans, alors qu’elles collaboraient avec Peter Gabriel. Pour elles, ce fut un challenge que de combiner la musique classique européenne et la musique orientale. Le résultat est original et particulièrement intéressant.

Natasha Atlas, qui prépare un nouvel album, Bladi Mood, pour l’année prochaine, a précisé qu’elle y chantera une chanson à l’algérienne du style hadaoui. Aussi, elle révèle qu’elle prépare une surprise pour ce soir. Tout ce qu’on en sait, c’est qu’elle chantera une chanson de Idir, mais elle ne précise pas le titre.

Pour cette artiste qui navigue si bien entre les cultures, le mélange entre l’oriental et l’occidental en musique constitue un rempart, « une terre qui rassure ». A la question de savoir pourquoi elle a mis tant de temps pour venir en Algérie, elle expliquera qu’elle appréhende toujours les pays arabes parce que les gens ne la comprennent pas toujours. Mais ce qui compte, c’est qu’elle soit là, en chair et en os - plus en chair qu’autre chose d’ailleurs - et elle promet de laisser au public du Théâtre de Verdure un souvenir inoubliable.

27 juillet 2005

Natacha Atlas et Jocelyn Pook à Alger

Commentaire en entête d'El Watan "Natacha Atlas :Une sulfureuse égyptienne à Alger : Une diva, un poil kitsch, excitée comme une puce, maquillée comme une voiture volée et toujours à la limite de brailler comme une charretière."

[NDR : Je suppose que c'est de l'humour de la part du journal ou que c'est pour donner le change aux conservateurs locaux, (heureusement l'article qui suit est bien plus interressant). J'ai assisté au concert du Jocelyn Pook Ensemble avec Natacha Atlas, à Boulogne sur mer le 19 juillet dernier, dans une petite église et c'était de mon point de vue absolument magnifique. A la fin du concert, j'ai même pu discuter quelques instants avec ces deux grandes (pas par la taille, oh non ;-) musiciennes qui ont été d'une remarquable disponibilité et gentillesse.]

"La féminité ravageuse quoi... et, avec ça, une crème, de la pure gentillesse". C’est ainsi que la décrivait le magazine L’œil électrique. Il s’agit bien de la sulfureuse Natasha Atlas, apparue sur la scène musicale dans les années 1990 en tant que voix du groupe anglais Transglobal Underground.

Elle qui conquit définitivement le public avec sa superbe reprise de la chanson Mon amie la rose de Françoise Hardy. On ne racontera pas sa vie, quoiqu’elle soit assez intéressante, mais on va juste préciser qu’elle est égyptienne par son père et anglaise par sa mère, qu’elle est née en Belgique et qu’elle navigue entre plusieurs langues et plusieurs cultures. C’est à Bruxelles qu’elle apprend la danse du ventre, puis la musique avec le compositeur et joueur de oud, Essam Rashaad.

A Londres, elle rencontre les membres du groupe techno-world, Transglobal Underground, dont elle devient la chanteuse principale. En 1999, avec l’aide de cette formation, elle sort enfin son premier album solo, Diaspora : musique traditionnelle égyptienne et rythmes techno-dub.
Le disque est une véritable réussite et Natasha Atlas révèle un grand talent vocal et une grande richesse d’interprétation. L’année d’après, elle sort un autre album, Halim, un hommage au grand chanteur égyptien Abdel Halim Hafez.

Gedida sort en 1999. C’est un peu l’album de la révélation internationale avec sa reprise de Mon amie la rose. Côté style : orchestrations orientales savantes, imparables beats techno-jungle et sonorités électroniques. S’ensuivront plusieurs autres albums en solo : Ayeshteni, en 2002, Fortold in the language of dreams, la même année, Something dangerous, en 2003 et un best-of sorti il y a quelques mois.

Entre-temps, elle apparaît sur des albums d’autres artistes, notamment sur Métamorphoses, de Jean-Michel Jarre, en 2000, et Harem, de Sarah Brightman en 2003. Sa voix se fait également entendre sur des bandes originales de films, dont celui de Ridley Scott, Kingdom of Haven et participera au long métrage de Nabil Ayouch, L’Américaine du Caire, dont la sortie est prévue pour 2006.

En juin 2004, l’Egyptienne s’engage : elle sera l’une des marraines de la campagne mondiale contre les violences contre les femmes, menée par le département Droits des Femmes d’Amnesty International. « On en a marre de la terre des hommes », dit la chanson composée par Marka et Thierry Robercht, interprétée par Natasha et 16 autres personnalités féminines. Un mois auparavant, elle remportait le Ethnie Multicultural Media Award (EMMA Award), dans la catégorie du Best World Music Act.

Enfin, cette sulfureuse Egyptienne saura, au-delà de l’exotisme pour touristes occidentaux, faire vibrer tous ceux qui sont sensibles à la bonne musique technico-orientale, ce jeudi, au Théâtre de verdure d’Alger, dès 21 h. Elle sera accompagnée par la musicienne Jocelyn Pook, une passionnée des nouvelles technologies qui a travaillé avec beaucoup de grands noms, dont PJ Harvey, Peter Gabriel, et Paul Weller. C’est elle aussi qui a composé la musique additionnelle de Eyes Wide Shut de Stanley Kubrick.

26 juillet 2005

Monaco sacre l’Afrique

Nettement moins médiatisé que la reconnaissance par Albert II de son « fils africain » l’événement est nettement plus intéressant : aussitôt après le sacre de son nouveau prince, le « Rocher » devient pour tout l’été le siège d’une somptueuse manifestation pluridisciplinaire consacrée aux artistes d’Afrique Noire.

La programmation a été confiée au styliste malien Xuly. Bët (alias Lamine Kouyate) qui expose ses « Carnets de Voyage » dans le hall du Grimaldi Forum, du 16 juillet au 4 septembre, en marge de l’importante exposition « Arts of Africa ».

Dédiée à « 6000 ans d’art africain », elle juxtapose des chefs-d'œuvre de la sculpture précoloniale choisis par l’historien de l’art italien Ezio Bassani, et l’une des plus importantes collections privées d’art contemporain africain, celle de l’homme d’affaires italien Jean Pigozzi, fils du créateur des automobiles Simca. Elle a été constituée sur les conseils d’André Magnin – l’un des commissaires d’Africa Remix – et aux dires de ceux qui ont vu l’expo ces derniers mois à Houston, elle n’a rien à envier à celle du Centre Pompidou !

La scénographie d’« Arts of Africa » a été confiée au légendaire designer milanais Ettore Sottsass. L’exposition, présentée à Monaco en exclusivité européenne, sera ensuite accueillie cet automne par la prestigieuse Smithsonian Institution de Washington.

En parallèle, le Grimaldi Forum présente une série de concerts du 15 juillet au 15 août, sous le titre « Africalive », autour des défilés de mode de Xuly. Bët et de la compagnie du danseur et chorégraphe ivoirien Georges Momboye.

Au programme : Ba Cissoko, Tiken Jah Fakoly et Rokia Traoré (le 15/7) ; Manu Dibango, Dobet Gnaoré, Mory Kante, Manu Katche et Angélique Kidjo (le 16/7) ; Yannick Noah (le 25/7) ; Lokua Kanza et Femi Kuti (le 4/8), et enfin Youssou N’Dour avec l’Orchestre du Caire sous la direction de Fathy Salama (le 15/8).

Today In Music History - July 26

1986 Peter Gabriel went to No.1 on the US singles chart with 'Sledgehammer', it made No.4 in the UK.

25 juillet 2005

Holmes Brothers set dates through fall and beyond

Blues trio The Holmes Brothers will bring their mix of gospel, R&B and traditional roots music to several North American cities over the next few months, kicking off with a show Friday (7/19) in Woodstock, NY.

After appearances ranging from the Aug. 7 American Roots Festival in Los Angeles, to a Sept. 25 show at Ringwood, NJ's public library, the group will head into Canada for a string of November dates.

The group--brothers Sherman (bass) and Wendell Holmes (guitar/keyboards) and drummer Popsy Dixon--has gained a sizeable fan base in recent years after working with artists such as Peter Gabriel and Joan Osborne.

The group has been together since 1979, and recorded four albums on the Rounder label before signing with Alligator records and releasing 2002's acclaimed "Speaking in Tongues," produced by Osborne, who also contributed backup vocals to the album.

Their most recent release was 2004's "Simple Truths," produced by Craig Street, notable for his work on Norah Jones' 2003 breakthrough release
"Come Away With Me."

In March, The Holmes Brothers received the W.C. Handy Award for Blues Band of the Year from the Memphis-based Blues Foundation.

L'Orient du milieu

Cette chronique d'Arnaud Robert relate les nuits asiatiques du Village du Monde, au 30e Paléo Festival de Nyon

Elle laisse son visage s'enliser sous une chevelure d'humus. Il faut du temps pour qu'elle révèle cet anneau, au bord du sourcil. Sevara Nazarkhan, dans une ombre de soie mauve, ne tamise pas entre cette culture qu'elle incarne presque seule au monde, celle d'Ouzbékistan, et celle des mondes électrisés qu'elle écume. Là-bas, elle était une presque Janet Jackson, sans bustier lâcheur, une star de la télévision et du papier très glacé. Ici, elle n'est qu'un nom long dans l'écurie de Peter Gabriel, Real World. Alors, elle tente tout pour marquer au fer le parterre fourni. Mercredi, elle est comme la sève de cette nuit étrange, vouée à l'Asie du centre, la moins connue.

Dans l'après-midi, ils se regardaient de coin. Okna Tsahan Zam, de Pamukie, de la Mongolie russe, au crâne rasé devant, touffu derrière. Il ouvrageait ses diphonies des plaines, drôle de hauteur qui naît de la gorge. Sevara savait qu'ils participaient ensemble, avec encore Yat Kha aux ampleurs chamaniques, du même plateau des découvertes. Chacun, à sa manière, est un marginal, une incongruité, chez lui. Punk, diva, mystique. Ici, ils sont catapultés ambassadeurs. Alors, ils font ce qu'ils peuvent de leur indépendance et de leur goût d'ailleurs. La world sait faire cela. Réduire à une origine géographique des êtres déterminés à se globaliser. A une langue des polyglottes.

Sevara Nazarkhan s'en sort. Elle fomente des rythmiques techno sur lit de luth ancien. Des lyrismes wagnériens. Des poses qui minaudent. Elle s'en sort. Parce que sa voix, qui dit autant les minarets crêpés du Caire que les divans matelassés de Bombay, cette voix de l'entre-deux raconte la musique en ses transports. L'Asie centrale est un estuaire. Sevara Nazarkhan, belle comme une rémission, comme un orage sec, y danse sur un pied. Cette année d'Asie, au Paléo, devait être la plus exigeante. A voir ces silhouettes amassées qui ne décollent pas, elle capture.

24 juillet 2005

Incendies en Sardaigne: touristes évacués dans le nord de l'île

le site de l'hotel Li Capinni : http://www.licapanni.com/

Le feu fait des ravages au nord de la Sardaigne. Des centaines de touristes et habitants ont dû être évacués sur la Côte d'Emeraude suite aux nombreux incendies. Des dizaines de maisons et des centaines d'hectares de maquis et de forêt ont été détruits.

Les touristes des divers hôtels et villages touristiques disséminés sur cette côte du nord-est de l'île ont tous ont trouvé refuge sur les plages, les flammes coupant le retrait par la route. Des dizaines d'embarcations privées et de la garde côtière ainsi qu'un grand navire militaire, ont été mobilisés pour leur porter secours.

Dans le nord-ouest, près de la ville d'Alghero, cinq départs de feu ont été enregistrés et plusieurs autres centaines de personnes ont été évacuées d'un camping dans la zone de Porto Conte. L'Italie traverse une période où les incendies sont nombreux mais la Sardaigne est la région la plus touchée. Les incendies ont fait jusqu'à présent une victime en Italie, un homme de 70 ans qui tentait d'éteindre un feu menaçant sa propriété dans le sud de l'Italie, en Calabre.

Cannigione ravagée par les flammes !

Sardaigne : Cannigione ravagée par les flammes, les touristes en fuite

...le territoire est une lande désolée : des estimations approximatives parlent de centaines d'hectares de vegetation méditerranéenne détruits par l'incendie. Des dizaines de maisons brûlées, le feu n'a pas épargné les habitations de beaucoup de résidents, en particulier des residences secondaires, des maisons de vacances, en endommageant même les villas de quelques continentaux ou d'autres residents Européens et même de Russie ou des Etats-Unis, qui ont choisi la Sardaigne comme seconde patrie.

C'est le cas de Peter Gabriel et de sa famille : ils ont une villa à Cannigione ; Ils ne sont pas actuellement dans l'île, mais une quinzaine d'ouvriers, de garçons et de gardiens ont dû abandonner à toute vitesse la résidence menacée par le feu.

Kate Bush may like hamsters

Dom Joly: Kate Bush may like hamsters, but I believe the world is the poorer for it. I loved the whole Babushka, Heathcliff, Peter Gabriel hugging thing she had. She's wasting her life down here

Down in the country I always write sitting in the same place. I have a desk facing a window that looks out over the rose garden and past a gorgeously dilapidated Cotswold barn which I keep meaning to turn into an incredibly expensive Cotswold spa-type place. I would sell beauty treatments made from cow-pats and start a cosmetics range called Cow's Bum. Sadly, I know it would never work - people just aren't that gullible. Anyway, I digress. When I say that I have a desk you're probably assuming that it's in some leather-lined, book-bedecked inner-sanctum-type room, where I kick back my heels with a large glass of Gevry Chambertin and a fat Cohiba while my 72 trained chimpanzees type away churning out my various literary exploits..... [Article Length: 571 words (approx.) ]

The Independent 24 July 2005 14:17 Click here to buy this article for £1.